​ne sont pas (forcément) superficiels​

                              Cette mégalopole des hauteurs est tout aussi impressionnante que Quito à notre arrivée car nous y

                              accédons depuis les hauteurs. Nous prenons nos quartiers dans un hôtel sympathique mais sans chauffage

                              et avec des vitres tout sauf étanches au froid (problématique en plein hiver !).

                           

Une seule balade depuis le centre vers le nouveau quartier nous a procuré un peu de plaisir car jour de fête dans la ville, tout le monde était de sortie. La ville est sans grand intérêt en ce qui concerne les visites. Le quartier central est très stalinien.

 

Peu décidés à nous attardés ici et remontés à bloc à l’idée d’être à 100m seulement au-dessus du niveau de la mer et en short, nous bookons 3 jours dans la pampa, sorte de savane Amazonienne. Pour éviter les 24h de bus sur une route à virages affectueuse surnommée la « route de la mort », nous prendrons l’avion. Pari doublement gagnant puisque le Capitaine Baudin est comblé de voyager sur une compagnie militaire (la TAM) et que le survol de la cordillère est splendide. Cédric est aux anges pendant l’attente dans la base militaire dans de l’armée de l’air ! Environnement assez marrant ou se mélange touristes « roots » et pilotes de coucou de l’armée bolivienne (pas vraiment les Top Gun au vue de la taille des aéronefs qui décollent). L’heure de vol nous emmene de La Paz à l’Amazonie (forêt dense et fleuve marron) en passant par la cordillère enneigée que nous survolons à très basse altitude.