​ne sont pas (forcément) superficiels​

                        Après un long vol, arrivée spectaculaire sur la ville perchée dans les montagnes et perdue dans les nuages.

                        Le trajet en taxi permet de se rendre compte de l’étendue de la ville, il nous faudra plus d’une heure pour

                        rejoindre le Mariscal, le quartier branché de Quito où se trouve la plupart des auberges. Pour notre première nuit, nous héritons d’un                         lit « matrimonial » avec une petite cheminée dans la chambre ouverte sur le reste de la chambrée des lits superposés.

Le lendemain nous ne perdons pas de vue l’objectif premier, trouver une croisière pour les Galápagos. Petit tour chez Happy Gringo, qui nous liste toutes les croisières disponibles sur nos dates. On n’a plus qu’à faire notre choix ! Et il se porte sur une croisière de 8 jours sur les iles du Centre et de l’Est sur la superbe embarcation dénommée : « Guantanamera ». Une fois notre mission remplie, nous partons visiter le centre. Celui-ci est  assez petit et, à moins de vouer un culte aux églises, peu intéressant.

 

Le dernier jour nous décidons de tenter l’ascension en téléférique pour un autre point de vue sur la ville. Sur le plan cela semble facile à pied, au bout de 15 minutes nous avons fait la moitié du chemin, nous continuons donc à pied. Très mauvaise idée, avec le mal de l’altitude. Notre souffle est plus que court et la montée très raide semble sans fin. Nous arrivons épuisés au téléférique et les derniers mètres semblent impossibles à concrétiser. La vue du haut du téléférique est superbe. Le temps est de notre côté et le soleil rayonne à présent.