​ne sont pas (forcément) superficiels​

                             Une ville, une vraie….enfin ! Tout comme à la maison, même le métro qui ne nous avait pas vraiment

                             manqué soyons honnêtes. On prend nos quartiers dans une super auberge refaite par des architectes.

                             On a de l’eau chaude dans les douches et des « asados » (BBQ) sur le toit que demander de plus ?
 

5 jours pour déambuler dans les rues au hasard en traversant les différents quartiers, Palermo, San Telmo, la Recoleta, la Boca… Bien sûr on visite le cimetière de la Recoleta pour voir la tombe d’Evita comme tout bon touriste. On fait aussi un tour dans Caminito, LA rue touristique pleine de couleurs de la Boca, on s’aventure même jusqu’au stade mythique pour les amateurs de football.  On aime beaucoup les docks et on s’y promène plus d’une fois, de jour comme de nuit. On en profite pour visiter l’ancien bateau école (un beau voilier) de la marine argentine.

Une fois n’est pas coutume, on se fait un ciné. On choisit même un vrai film argentin (Septimo) tourné à Buenos Aires avec un des acteurs argentins les plus connus Ricardo Darin (les 9 reines, El secreto de sus ojos, Carancho…), le tout en espagnol donc. On est bien fiers parce qu’on a tout compris, on a même deviné qui était le méchant avant la fin !

Buenos Aires c’est aussi l’occasion de nous réconcilier avec la gastronomie d’Amérique du Sud. Jusqu’ici on n’a pas été transporté, l’argentine nous réconforte un peu, plus d’ailleurs pour la qualité des produits (la viande rouge !) que pour la réalisation de plats fins. On mange donc d’énormes morceaux de viande qu’on est obligé de demander bleus si on veut espérer avoir quelque chose de saignant. Ici ils sont plutôt semelle pour la cuisson mais la viande est succulente.

La pluie gâche un peu la fin du séjour, nous prenons donc la route pour la Péninsule Valdes. A nous baleines, pingouins, lions de mer…