​ne sont pas (forcément) superficiels​

                              Passage éclair à Salta après un passage de la frontière express si l’on oublie les 2 heures de fouilles

                              des sacs de tout le bus. Il faut beau, il fait chaud, les routes sont goudronnées, les bus sont confortables,

                              il n’en faut pas plus à notre bonheur !

De Salta nous relions Posada en une nuit et attrapons au saut du bus un autre bus pour Iguazu. Il faut encore plus chaud et l’auberge à une mini piscine : le pied !

Histoire d’agrandir notre collection de tampon de frontière nous allons voir les chutes côté Brésilien. C’est beau, impressionnant… mais on a un peu l’impression de se faire arnaquer. Une fois l’entrée du parc payée (cher), on ne peut parcourir qu’un sentier (d’une heure à peine), tous les autres sentiers de balade, tour en bateau et autres « activités » sont payants.

Heureusement on se console le lendemain avec la visite côté Argentin qui nous a pris une bonne grosse journée. On découvre les chutes de pleins de points de vue différents : d’en haut, d’en bas, de côté via des balades bucoliques à pied ou en petit train à travers la forêt. Le clou du spectacle c’est la gorge du diable, lieu où se déversent la majorité des cascades du site de façon fracassante !

Loin des touristes nous partons en balade dans la forêt pour atteindre une petite cascade cachées où l’on se baigne sous les derniers rayons de soleil.

 

Vous l’aurez compris Iguazu on a aimé !