​ne sont pas (forcément) superficiels​

                              Tous Juste débarqués de la croisière, nous prenons possessions de notre bolide pour rejoindre le

                              parc Torres del Paine. Depuis Puerto Natales il nous faut traverser tout le parc pour atteindre

                              notre hôtel. Cela nous permet de découvrir une première fois les beautés du lieu. Nous déjeunons

                              avec vue sur le lac et les montagnes.

 

Ici tout est cher , catégorie « coute un bras ». Impossible de déjeuner pas cher, même les lunch box (composées de sandwichs pas bons, d’une bouteille d’eau, d’un fruit et d’une salvatrice barre de chocolat) sont hors de prix. Il n’y a pas de supermarchés dans le parc, obligation de passer par les hôtels pour manger. Hôtels qui sont eux-mêmes hors de prix.

 

Les hôtels sont par contre au niveau de leur prix. Nous en ferons deux, forts agréables. Le premier nous offre une superbe vue sur les montagnes enneigées, un grand lit moelleux et une mini baignoire. Le second monte en gamme et nous héritons d’une double baie vitrée avec vue sur le glacier et de deux grands lits (au cas où on manque de place).

 

Le parc est sublime et s’apprécie autant en voiture qu’à pieds. C’est pour nous l’occasion de faire de petites randonnées de quelques heures à travers les paysages du parc. Nous commençons par le territoire de chasse d’un puma. Comment le savons-nous ? Pas pour avoir été attaqué par le dit puma mais parce que de nombreuses carcasses de lama ponctuent notre marche.

 

Une autre marche nous amène au bord de l’eau admirer les icebergs qui se sont détachés du glacier. Ils arborent des teintes de bleues variées et des formes étranges. Au fur et à mesure de la balade, poussés par le vent et les courants ils se rapprochent du rivage.

 

Pas d’essence dans le parc ni dans les villes alentours. La prochaine pompe est à Puerto Natales. La sortie du parc située près de notre hôtel est fermée, nous devons donc retraverser tout le parc pour atteindre la ville. Les derniers kilomètres se feront en croisant les doigts pour ne pas tomber en panne d’essence.